Ce chauffeur de bus TCL avait terrorisé la population lyonnaise entre octobre 2012 et janvier 2014 en multipliant les viols et agressions sexuelles dans le 8e arrondissement. D’où ce surnom trouvé par les médias locaux : « le violeur du 8e« .
Au total, six viols et tentatives lui sont imputés. Kamel Abbas, armé d’un couteau, menaçait de tuer ses victimes. Son analyse par des experts a révélé qu’il utilisait « la sexualité pour détruire et annihiler ses victimes« . […]
Merci à LaurentLL
Les agressions urbaines, notamment le viol de la rue de la Faïencerie il y a quelques semaines et celles de la fin de semaine passée, ont fait réagir. Notamment les femmes qui, pour certaines, ont décidé de s’inscrire à des cours de self-défense. […]
Merci à Mielrubis
Le tribunal de Bobigny à condamné 6 « jeunes gens » (mineurs au moment des faits) pour un viol collectif commis en 2010…
Les 3 accusés de viol ont été condamnés à 5 ans dont un an avec sursis et mise à l’épreuve et 4 ans dont 2 avec mise à l’épreuve. Un complice a été condamné à 4 ans, dont 18 mois avec sursis et mise à l’épreuve, et deux autres accusés à 12 mois et 15 mois pour non-dénonciation de crime.
Merci à honestum
Une femme de 26 ans a été «enlevée et violée par un gang de six migrants en provenance d’Irak, de Syrie et du Bahreïn après qu’on ait mis de la drogue dans sa boisson».
La femme de 26 ans a déclaré qu’elle s’était réveillée dans une étrange maison avec des coupures et des ecchymoses Elle pense qu’on a mis de la drogue dans sa boisson lors d’une soirée à Sunderland. L’agression a provoqué la manifestation de militants d’extrême-droite dans la ville
A la suite du viol, la police a arrêté six hommes originaires d’Irak, de Syrie et du Bahreïn Les fenêtres de la maison mitoyenne où la femme a déclaré avoir été agressée ont été brisées par des militants d’extrême droite une semaine après l’agression présumée. Deux hommes « asiatiques » (Nd Schwarze Rose: en anglais cela équivaut au Pakistan, au Bangladesh etc.) ont été blessés et cinq hommes ont été arrêtés pour des infractions lors de la manifestation.
Les six hommes accusés de viol sont en liberté sous caution jusqu’au 17 octobre.
Merci à Stormisbrewing
En début de semaine, les deux étudiants ont été confrontés. Au coeur de cette affaire : une plainte pour viol.
Les faits de viol remonteraient au mois dernier. Le contexte est presque banal : une jeune femme d’une vingtaine d’années, étudiante à Calais, s’est amourachée d’un autre étudiant calaisien d’origine guinéenne. A Calais, l’homme vit chez son frère. Cette relation amoureuse bat finalement de l’aile, les deux se séparent tout en restant en bons termes. D’amants ils deviennent amis.
Un soir de sortie, il y a quelques semaines, les deux ex-tourtereaux se retrouvent à l’appartement de la jeune femme. Il l’aurait « précipité dans son logement et forcé à avoir une relation sexuelle », indique une source proche de l’enquête. La jeune femme se serait fortement débattue. En vain. Elle affirme avoir été violée. Les jours suivants, le jeune homme l’aurait appelée de façon incessante, s’excusant.
La Calaisienne a déposé plainte. Elle ne serait peut-être pas la seule victime. Une enquête est en cours.
Merci à fran95_5
Les jeunes filles ont été maltraitées, violées et ont été victimes de traite sexuelle. […] Certaines n’étaient âgées que de 12 ans […] Certaines ont été bourrées d’alcool et de médicaments et ont été « importunés encore et encore » pour enchaîner les relations sexuelles avec les hommes […]
Sept somaliens ont été jugés à Bristol début septembre pour un total de 46 chefs d’accusation, y compris de viol, viol sur mineur de moins de 13 ans, agression sexuelle, traite aux fins d’exploitation sexuelle et séquestration.
Les accusés sont Sakariya Sheikh, 23 ans, connu sous le nom « Zak »; Abdirahman Galal, 26, connu sous le nom «Ramsey»; Mohammed Osman, 29 ans, connu sous le nom «I-Man »; Mohammed Dahir, 24, connu sous le nom « Kamal »; Nuridin Mohamoud, 22, connu sous le nom « Ahmed »; Abdirashid Abdulahi, 23, connu sous le nom « Abs »; et Nasir Mahamoud, 23, connu sous le nom « Ace ».
L’interdiction empêchant les médias de rapporter l’affaire jusqu’à ce que les victimes présumées aient fini de témoigner a été levée lundi, suite à une demande présentée par Associated Press. […]
The Sun (Traduction FDS)
La Sûreté urbaine de Lille a entendu la semaine dernière un Lillois, suspecté d’avoir violemment agressé une jeune femme, en mars dernier, dans le quartier populaire de Wazemmes. La victime revenait d’une soirée à Masséna-Solférino, et a été violée.
Dans la nuit du 4 au 5 mars dernier, vers 2 h 30 du matin, une jeune femme rentre chez elle, dans le quartier de Wazemmes. Elle a passé la soirée dans le quartier festif Masséna-Solférino, non loin, et vient d’entrer dans le hall de son immeuble, lorsque surgit un inconnu. L’homme la ceinture, l’étrangle, et la menace de mort dans le cas où elle se mettrait à crier. Dans un premier temps, il réclame de l’argent. Mais la victime n’en a pas. L’agresseur passe alors la main sous sa jupe, provoquant une réaction de panique de la jeune femme, qui crie.
L’homme accentue alors la pression sur son cou, et l’entraîne en même temps contre un mur du couloir. Cette fois il exige un acte sexuel, tout en continuant à étrangler sa victime. Celle-ci n’a d’autre choix que s’exécuter mais finit par perdre connaissance. À son réveil, le violeur est toujours là, et lui serre encore le cou. La jeune femme parvient à nouveau à hurler et, cette fois, est entendue par une voisine qui intervient et met l’agresseur en fuite. La victime porte des traces de coups aux jambes, et n’a plus son téléphone mobile.
Depuis plusieurs années, les policiers lillois sont confrontés à de véritables prédateurs, voleurs et parfois aussi violeurs, qui s’attaquent spécifiquement aux jeunes et étudiants revenant de soirées à Masséna-Solférino, des proies faciles lorsqu’elles rentrent, seules, la nuit. Dans le hall d’immeuble où se sont produits les faits à Wazemmes, la police scientifique effectue des prélèvements, ainsi que sur les vêtements de la victime. Ces traces permettent d’identifier l’ADN d’un Lillois âgé de 31 ans, se disant SDF, déjà connu. Lorsque son nom tombe, le suspect est incarcéré en région parisienne, poursuivi pour une série de vols de téléphones mobiles, exclusivement au préjudice de femmes.
À partir de ce lundi matin 9 heures, Marzouk Zayani, 32 ans, va comparaître devant la cour d’assises de Vaucluse pour répondre d’un viol. Face à lui, une jeune fille qui était âgée de 15 ans et demi seulement à l’époque des faits, en l’occurrence le 3 décembre 2014.
[…] L’homme sera rapidement identifié, des examens réalisés, et il a dans la foulée été mis en examen des chefs de viol et agression sexuelle. Mais s’il a expliqué qu’il ne se souvenait plus avec exactitude s’il y avait eu relation sexuelle, il a toujours contesté avoir forcé la jeune fille à quoi que ce soit.
[…] le jour des faits Younes, qui a de faibles capacités intellectuelles, a pu interpréter son silence comme un accord. Dans ce dossier il n’y a pas eu de contraintes, pas de menaces et c’est bien la notion de surprise qui va être débattue par la Cour et les jurés pour établir si l’accusé a commis un viol, un crime passible de 15 ans de réclusion criminelle.
L’accusé, déjà condamné à 13 reprises, a récupéré le numéro de téléphone de la victime sur le portable de son petit frère qui était avec elle au collège. […]
Merci à Lilib et marie salers
Un demandeur d’asile de 29 ans qui s’apprêtait à attaquer au couteau un autre réfugié dans un foyer d’accueil à Berlin a été abattu par des policiers dans la nuit d’hier à aujourd’hui, ont annoncé la police et le parquet.
La police avait initialement été appelée vers 20h30 dans cet établissement du centre de la capitale allemande afin d’interpeller un demandeur d’asile de 27 ans soupçonné d’avoir abusé hier soir dans un parc voisin d’une enfant réfugiée de six ans vivant dans le même foyer, selon un communiqué de la police.
Au moment où le suspect, qui était menotté, était assis dans le véhicule des policiers, un autre réfugié est sorti du foyer un couteau à la main et s’est précipité sur lui, selon ce communiqué. Selon plusieurs témoins, l’homme, peut-être le père de l’enfant, a crié : « tu ne vas pas survivre à ça ! », a écrit l’agence de presse allemande DPA.
« Il a ignoré les multiples sommations lui enjoignant de s’arrêter, en conséquence de quoi plusieurs policiers ont fait feu sur lui », ont expliqué dans un communiqué le Parquet et la police. Grièvement blessé, l’homme a été conduit à l’hôpital où il est mort de ses blessures, selon la même source.
Après deux jours de procès en appel aux assises de l’Oise à Beauvais, Mustapha Oumaline, condamné en mai 2015 à 14 ans de prison pour un viol commis en 2007 à Achery sur une adolescente de 15 ans et demi, a cette fois écopé de 15 années de réclusion criminelle. Marocain, il a en plus interdiction de pénétrer sur le territoire français.
Me Tainmont défend l’accusé Mustapha Oumaline avec Me Bouchaillou
Comme au cours du premier procès, à Laon devant la cour d’assises de l’Aisne, l’ancien épicier de Saint-Quentin a nié l’acte qui lui était reproché, assurant n’avoir pas même été présent lors de cette soirée du 18 mai 2007 chez Brahim El Bahchach, condamné, lui, dans l’Aisne et en son absence, à 20 ans de prison. […]
Interpellé à Orly en 2013, de retour du Maroc où il venait d’enterrer sa seconde épouse, Mustapha Oumaline aura ces derniers mots à l’adresse du tribunal : « Moi aussi, je suis une victime. Je suis innocent. »
Merci à Bobbynette
Côté face : un trentenaire sans histoire, au casier vierge, bien noté de ses anciens employeurs. Côté pile, c’est un autre visage, plus inquiétant, que la justice éclaire. Ahmed M., ancien moniteur de l’établissement pour personnes handicapées Esat Toulouse-Lautrec, à Aulnay-sous-Bois, a été emprisonné ce week-end pour des viols, des actes de torture et de barbarie et des agressions sexuelles sur personnes vulnérables, commis d’octobre 2015 à mars 2016.
L’enquête avait été déclenchée en mars 2016, par l’établissement lui-même auprès du parquet de Bobigny. Il aura fallu quelques mois pour que le commissariat d’Aulnay soit saisi. Vu la gravité des faits, elle aurait pu être confiée à la Sûreté du 93, mais les policiers de la brigade de délégation et des enquêtes pénales (BDEP) du commissariat ont pris les investigations en main. Une dizaine de policiers ont travaillé sur cette enquête.
« Il faisait le fou au volant pour faire peur aux usagers » rapporte une source proche de l’affaire qui note que la plupart des agressions reprochées se seraient passées dans un camion. Onze victimes ont été recensées, toutes majeures, parfois âgées d’une quarantaine ou d’une cinquantaine d’années. Cinq viols avec des objets et deux agressions sexuelles ont notamment été établis, sévices doublés de torture, à en croire les blessures subies aux parties génitales par certains. […]
Merci à Bobbynette
Samuel J., 21 ans, a été condamné ce jeudi après-midi à 7 ans de prison par la cour d’assises du Val-d’Oise.
(…)
La cour d’assises a prononcé l’acquittement de son copain, Vilmos C., 19 ans, qui était accusé de viol en réunion. Elle a toutefois prononcé à son encontre une peine de trois ans de prison, pour ne pas avoir empêché le déroulement des faits.
Les deux accusés ont enfin été reconnus coupables du vol du téléphone portable de la victime, des faits commis en réunion et dans un véhicule de transports de voyageurs. Deux circonstances aggravantes.
L’avocat général avait auparavant requis à l’encontre des deux jeunes Roumains des peines de 10 et 5 ans de prison.
(…) Un dimanche matin de janvier 2015, il est un peu plus de 8 heures du matin, le RER A arrive en gare de Cergy-le-Haut. Seule dans son wagon, G., qui a passé la soirée avec une amie à Paris dans le quartier d’Austerlitz, en ayant consommé beaucoup d’alcool, s’est endormie, laissant passer la gare de Houilles (Yvelines) où elle réside. Dans un demi-sommeil, elle découvre qu’un homme s’est assis en face d’elle, un autre est à sa droite. Le premier s’approche puis lui ôte violemment son pantalon tout en la maintenant. Il viole sans protection sa victime paniquée, incapable de hurler, terrorisée à l’idée d’être frappée, parvenant juste à implorer, à plusieurs reprises : « stop please stop ».
Alors qu’elle se confie à des usagers, les deux hommes se sont enfuis, non sans emporter son téléphone portable. C’est une jeune femme en pleurs et en état de choc que les policiers ont pris en charge.
Les prélèvements ADN ont permis aux enquêteurs d’identifier le violeur présumé. Samuel J., un jeune rom qui sera interpellé quelques jours plus tard, ainsi que son complice. Tous deux ont été également repérés sans difficulté sur les vidéos de la gare où les policiers ont pu assister à leur manège. Les deux hommes semblent inspecter les trains en effectuant des va-et-vient entre les rames, jusqu’à ce que Samuel J., indique à Vilmos C. la rame dans laquelle se trouve la victime. Elle aurait accepté le « bisou » demandé avant de s’asseoir sur lui à califourchon, a assuré Samuel J. lors de l’instruction. « Je suis quelqu’un de correct. J’ai un grand cœur. Je ne fais de mal à personne » ajoute-t-il devant la cour.
(…) Le Parisien
Un touriste australienne a été violemment battue et subi un viol collectif d’une extrême violence après avoir été attaqué dans un parc situé tout près du célèbre Colisée. Quelques jours auparavant, une Brésilienne avait subi le même sort.
Les médias locaux ont rapporté que la victime âgé de 49 ans a été violée et battue avec une extrême violence. Retrouvée inconsciente sur un trottoir par un passant, elle souffre aujourd’hui de graves blessures physiques et psychologiques. Un homme d’une trentaine d’année issu de la communauté rom est depuis activement recherché par la police qui analyse les images des caméras de surveillance.
Les policiers ont précisé que le téléphone portable de la victime avait été volé, tandis que les médecins de l’hôpital San Giovanni où elle a été transportée, ont diagnostiqué une commotion cérébrale due à de nombreux coups de poings ainsi que des lacérations au visage.
Cette agression ignoble est survenue quelques jours seulement après qu’une femme brésilienne a été enlevée et violée par deux hommes et une femme.
La victime, âgée de 48 ans, avait été attaquée le 25 septembre près de la gare Tuscolana avant d’être ligotée et agressée. Elle était parvenue à échapper à ses agresseurs pendant que ces derniers étaient endormis. Elle avait couru jusqu’à un hôpital où elle avait signalé l’agression.
Ses agresseurs, tous trois des ressortissants roumains, ont été arrêtés le lundi 3 octobre. Ils sont accusés de viol, agression, séquestration et vol.
Merci à Stormisbrewing
(Màj du 09/10)
La police nationale suédoise a envoyé du renfort à Visby pour calmer la population, très enragée, après que les enquêteurs aient relâché dans la nature les cinq suspects précédemment interpellés.
Mercredi dernier, le juge s’occupant de l’affaire a décidé de la remise en liberté des suspects pour manque de preuve tangible.
Les renforts policiers sont arrivés vendredi à Visby pour contenir un possible soulèvement populaire des habitants, outrés par la décision du juge.
Les suspects libérés sont l’objet de menaces diverses provenant de personnes indignées.
« On ne peut pas accepter que des gens rendent la justice eux-mêmes » a prévenu Torbjörn Nilsson, chef de la police locale.
Suède – Une femme handicapée, en fauteuil roulant, a été victime d’un viol collectif, dans la ville de Visby.
« Elle ne va pas bien, elle reçoit de l’aide psychologique » a déclaré Staffan Fredriksson, l’avocat de la victime, au journal Nyheter Idag.
Le samedi 1er octobre, une femme de 33 ans a été violée pas plusieurs hommes dans un appartement de Visby.
5 hommes, tous âgés d’environ 20 ans, sont entendus par la police et sont suspectés d’être les auteurs du crime.
Le journal Aftonbladet relate que la victime a été emmenée en voiture par l’un des suspects jusqu’à un appartement qui appartiendrait à un ou plusieurs individus mis en cause, le reste des violeurs présumés attendaient la jeune femme handicapée dans l’appartement et l’ont violée pendant des heures.
Trois demandeurs d’asile d’origine pakistanaise ont été arrêtés à Chiari, près de Brescia, et sont maintenant en prison à Brescia sur des soupçons d’agression sexuelle. Lundi soir, dans un parc public dans le quartier ouest de Brescia, ils auraient violé une jeune femme italienne de 22 ans qui les a ensuite dénoncé à la police.
Ils vivaient à Castrezzato et Chiari, près de Brescia, dans des logements mis à disposition par les municipalités, ont entre 23 et 26 ans. D’après l’accusation, les trois abusaient de la victime.
(Merci à Kroaz Du) pour l’info et la traduction
Une jeune lycéenne de 17 ans violée dans un RER. Un véritable cauchemar. C’est pour ces faits qu’un homme de 29 ans comparaît à partir d’aujourd’hui devant la cour d’assises de l’Essonne à Evry. L’accusé est également poursuivi pour vol, agression sexuelle et exhibition sexuelle sur deux autres victimes.
[…] La jeune victime est en mesure de faire une description assez précise de son agresseur aux enquêteurs. Ces derniers font immédiatement le rapprochement avec une autre plainte, déposée par une femme victime d’une exhibition sexuelle le 7 février 2013, toujours dans le RER D. L’homme était passé à l’acte vers 10 heures entre l’arrêt Buno-Gironville et Boigneville.
Dans les deux affaires, des prélèvements sont effectués et l’ADN ressort, celui de l’accusé, interpellé le 6 mars 2013 dans un foyer Adoma de Montgeron. Son couteau n’est pas retrouvé, mais les vêtements correspondent à ceux décrits par les plaignantes. Malgré les nombreux indices, le suspect conteste avoir commis les faits. Il reconnaît juste s’être masturbé et avoir éjaculé dans le train et prétexte des trous de mémoire.
Une troisième plainte, remontant au 23 janvier 2013, vient alors se greffer au dossier. Ce soir-là, une femme a été suivie de la gare de Montgeron, toujours sur la ligne D, jusqu’à chez elle par un homme ressemblant au suspect. Sur le trajet, il l’a agressée et a tenté de la violer en la menaçant avec un couteau. L’homme conteste, mais il est formellement reconnu par la victime.
Le verdict est attendu mardi prochain.
Grâce à la vidéo-surveillance, les investigations et les preuves matérielles ont permis d’orienter l’enquête vers un homme vivant dans l’Essonne, déjà connu des services judiciaires.
Il était aux alentours de midi, ce mercredi. À l’abri, croyait-elle, dans son appartement situé du rez-de-chaussée d’un immeuble d’Orange, une septuagénaire prenait une douche. Alors qu’elle avait fini sa toilette, un jeune homme est entré dans l’habitation par une fenêtre laissée entrouverte. L’individu, qui avait probablement observé la scène depuis l’extérieur, s’est jeté sur la dame encore en petite tenue.
Celle-ci s’est défendue. Elle a poussé des hurlements. Les voisins, alertés par les cris, ont aussitôt prévenu la police. La victime ne doit son salut qu’à l’arrivée conjointe des policiers municipaux et des fonctionnaires de la police nationale. L’homme, âgé de 33 ans, déjà connu des services de la justice, a été aussitôt interpellé.
Sans l’intervention des forces de l’ordre, les faits qualifiés de tentative de viol, auraient bel et bien pu tomber sous le coup du viol simple. L’individu a été déféré au parquet du pôle criminel d’Avignon, où il a été mis en examen, hier en fin de matinée. À l’issue de l’ouverture d’une information judiciaire à son encontre, puis de son passage devant un juge des libertés et de la détention, il a été écroué.
Une handicapée mentale de 16 ans a été violée vendredi soir à Elancourt (Yvelines). Quelques minutes après, un suspect âgé de 34 ans a été interpellé par la police sur les lieux de l’agression.
Il est 17 h 30 lorsque Nathalie* [le prénom a été changé] sort de son lycée spécialisé et se rend à la gare de routière de Saint-Quentin-en-Yvelines pour prendre le bus à destination de Châteaufort. Elle y rencontre un homme qui comprend qu’elle souffre de déficience mentale. Il la force à monter avec lui dans un bus pour Elancourt et lui fait subir des attouchements. Ils descendent dans le quartier la Clef-Saint-Pierre et entrent dans un petit immeuble. Dans un studio, l’agresseur la jette sur un lit, la déshabille brutalement et la viole, en restant sourd à ses refus. Puis il la met dehors en lui demandant de « rentrer chez elle ». Devant l’immeuble, l’adolescente fait une crise d’épilepsie. Des passants viennent à son aide et préviennent les pompiers. Elle leur raconte les faits. Les secouristes alertent la police.
A 19 h 5, les fonctionnaires interpellent le suspect devant la porte du logement, une couette dans les bras. Il a été placé en garde à vue au commissariat et s’y trouvait encore hier soir, pour « viol sur personne vulnérable ». Les enquêteurs lui ont fait subir une prise sang et ont saisi des objets sur les lieux. La victime a été conduite à l’unité médico-judiciaire de Versailles, où elle a subi des examens gynécologiques.
Trois adolescents ont été arrêtés samedi soir après qu’une femme ait été violée sur une plage de Folkestone, en Angleterre.
Selon les enquêteurs, le crime a été commis aux environs des 20h00.
Un jeune individu de 18 ans et deux adolescents de 16 ans ont été arrêtés ce matin en connexion avec le viol et demeurent en prison.
Un homme a été mis en examen jeudi pour viol sur personne vulnérable. Il est soupçonné d’avoir violé son beau-père aveugle à Rouen en 2015. Ce dernier a révélé les faits après le décès de sa belle-fille.
Un homme de 65 a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire jeudi après-midi à Rouen pour le viol aggravé d’un septuagénaire. Sa victime, âgée de 70 ans et aveugle, était son beau-père.
L’affaire débute dans la soirée de mardi, quand la police est alertée pour une altercation au domicile de la victime, dans le secteur du Champ de Mars, à Rouen. « La victime a alors accusé l’autre homme de l’avoir violée par le passé », explique Étienne Thieffry, procureur de la République adjoint à Rouen.
Le mis en cause reconnaît les faits
« Les constatations des policiers ont permis de crédibiliser ces allégations et le mis en cause a reconnu le fait de viol », poursuit le magistrat. Ceux-ci se sont déroulés en septembre 2015 au domicile de la victime.
À l’époque, le mis en examen, originaire de Belgique, vit avec la belle-fille du septuagénaire depuis plusieurs années. « Ils se sont rencontrés sur un banc à Paris », précise une autre source. La belle-fille et sa mère se rendent en séjour au Cameroun, d’où elles sont originaires. C’est pendant cette absence, de passage au domicile du septuagénaire, que le gendre a violé par surprise et par contrainte son beau-père. « Le premier est assez costaud et le deuxième assez chétif », poursuit la même source. À l’époque des faits, la victime ne dit rien, pas plus que pendant l’année qui s’écoule ensuite. Mais samedi, il y a un peu plus d’une semaine, un événement a, peut-être, changé la donne. La belle-fille, âgée de 35 ans, est décédée d’un cancer. Le mardi suivant donc, le septuagénaire révèle les faits. « La question qu’on peut se poser, c’est de savoir si le décès de sa belle-fille a libéré son beau-père d’un poids, s’il n’avait pas gardé ça secret, pour ne pas lui faire de tort », considère une source judiciaire. […]